« Page:Pensées de Marc-Aurèle, trad. Couat.djvu/221 » : différence entre les versions

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Vois ce qu’ils sont, d’une part, quand ils mangent, dorment, s’accouplent, vont à la selle, etc.; puis, au contraire, quand ils font les hommes ?, se pavanent, s’irritent, blâment sans mesure. Il n’y a qu’un moment, de combien de besoins ils
Vois ce qu’ils sont, d’une part, quand ils mangent, dorment, s’accouplent, vont à la selle, etc. ; puis, au contraire, quand ils font les hommes ?, se pavanent, s’irritent, blâment sans mesure. Il n’y a qu’un moment, de combien de besoins ils
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<section begin=notes/>i. [Cf. supra VIII, 45; infra X, 23.]
<section begin="notes"/>{{bloc|1. [Cf. ''supra'' VIII, 45 ; ''infra'' X, 23.]


2. [èâv Ti; noivTa^oû w; èv noÀei xoaaw. N’est-il pas nécessaire d’écrire un second èv devant Tiji xôa|Uo?]
2. [{{lang|grc|ἐάν τις πανταχοῦ ὡς ἐν πόλει τῷ κόσμῳ}}. N’est-il pas nécessaire d’écrire un second {{lang|grc|ἐν}} devant {{lang|grc|τῷ κόσμῳ}} ?]


3. [Le mot ôXw; du texte grec est rendu par le tour plus net et l’accent plus impérieux de la phrase française. Traduction littérale: «Il ne s’agit pas du tout de discuter..., mais de l’être. »]
3. [Le mot {{lang|grc|ὅλως}} du texte grec est rendu par le tour plus net et l’accent plus impérieux de la phrase française. Traduction littérale : « Il ne s’agit ''pas du tout'' de discuter…, mais de l’être. »]


4. [Couat: « la durée éternelle et la matière infinie. » — Mais, pour les Stoïciens, le monde est fini. Le contresens, qu’eût évité une traduction littérale, vient de Pierron.]
4. [Couat : « la durée éternelle et la matière infinie. » — Mais, pour les Stoïciens, le monde est fini. Le contresens, qu’eût évité une traduction littérale, vient de Pierron.]


5. [Couat : « substance. »]
5. [Couat : « substance. »]


6. [Cf. supra X, 8, note finale.]
6. [Cf. ''supra'' X, 8, note finale.]


7. [Le participe àvSpovo|ioû|i«voi que présentent ici les manuscrits ne se retrouve pas ailleurs. L’étymologie ne permet guère, à vrai dire, d’en tirer le sens qu’exige le contexte, et M. Rendall (Journal of Philology, XXIII, p. i54)a peut-être raison d’appeler ce mot vox nihili. En tout cas, la correction qu’il propose, àv3povuvoû|ievoi, <section end=notes/>
7. [Le participe {{lang|grc|ἀνδρονομοῦμενοι}} que présentent ici les manuscrits ne se retrouve pas ailleurs. L’étymologie ne permet guère, à vrai dire, d’en tirer le sens qu’exige le contexte, et M. Rendall (''{{lang|en|Journal of Philology}}'', XXIII, p.&nbsp;154) a peut-être raison d’appeler ce mot ''{{lang|la|vox nihili}}''. En tout cas, la correction qu’il propose, {{lang|grc|ἀνδρογυνούμενοι}},}}<section end="notes"/>