« Page:Jacques Parmentier Dialogue sur l Education Anglaise en France 1889.djvu/12 » : différence entre les versions

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— Non, je ne l’oublie pas, mais je sais ce que vous en pensez. Vous
— Non, je ne l’oublie pas, mais je sais ce que vous en pensez. Vous
êtes le premier à reconnaître que les leçons de gymnastique obligatoire
êtes le premier à reconnaître que les leçons de gymnastique obligatoire
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{{c|{{sc|pierre de coubertin}}.}}
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— Vous avouez que le défaut d’exercice n’est bon ni pour le corps ni
— Vous avouez que le défaut d’exercice n’est bon ni pour le corps ni
pour l’âme.
pour l’âme.


{{c|{{sc|paschal grousset}}.}}
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— Que nous ne donnons pas à nos enfants cette
— Que nous ne donnons pas à nos enfants cette


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— Sans doute.
— Sans doute.


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— Nous voilà d’accord.
— Nous voilà d’accord.


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— Pas tout à fait. Je reconnais avec vous, messieurs, qu’il y a chez
— Pas tout à fait. Je reconnais avec vous, messieurs, qu’il y a chez
notre jeunesse un commencement de souffrance et qu’il est du devoir
notre jeunesse un commencement de souffrance et qu’il est du devoir
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{{c|{{sc|pierre de coubertin}}.}}
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— Le mot est de moi, je le maintiens.
— Le mot est de moi, je le maintiens.


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— Vous avez tort, monsieur. Parler ainsi, c’est parler contre la vérité.
— Vous avez tort, monsieur. Parler ainsi, c’est parler contre la vérité.
C’est nous amoindrir injustement à la grande joie des étrangers. Je ne
C’est nous amoindrir injustement à la grande joie des étrangers. Je ne
m’étonne pas d’avoir entendu un critique anglais appeler votre premuer
m’étonne pas d’avoir entendu un critique anglais appeler votre premier
ouvrage un délicieux petit livre — {{lang|en|''a delightfull little book''}} — et en recommander
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la lecture franchement, amicalement et cordialement —
la lecture franchement, amicalement et cordialement —
{{lang|en|''frankly, friendly and amically''}}<ref name=p10>Voir l’{{lang|en|''Academy''}}, du 18 septembre 1888, p. 168.</ref>.
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