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épilogue.

nople, visité la Grèce, l’Italie et plusieurs contrées d’Europe. — Nous passâmes quelques jours ensemble à Paris, et je me souviens encore d’un fameux déjeûner que nous fîmes dans un des cabinets de Véfour, au Palais Royal, en compagnie d’un professeur, docteur ès-sciences, charmant homme et excellent convive. — Vrai repas de gastronomes et où Grasset se distingua autant par son bon goût, son érudition culinaire, que son esprit, sa bonne humeur et son bon appétit. — Nous lui tînmes tête.

Notre seconde rencontre a eu lieu tout récemment : Grasset avait perdu son père en 1875, et possesseur libre d’une belle fortune, il s’était marié à une femme de son choix. Cette union fait aujourd’hui le charme de son existence et n’a pas peu contribué à lui conserver son caractère franc et jovial, plein d’aménité et de dévouement.

Il y a un peu plus d’un an que, se trouvent aux bains de mer de Biarritz, je reçus de lui une lettre où il me disait : — « …je ne saurais assez vous exprimer combien j’ai été touché et je vous suis reconnaissant de la marque de sympathie que vous