« Page:Barrès - Le culte du moi : le jardin de Bérénice.djvu/144 » : différence entre les versions
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J’étais trop |
J’étais trop intéressé par ma chère Bérénice et par cette plaine, qui, toutes deux, manifestent si nettement cet immuable que je n’ai pas trouvé en moi ; il me fallait y méditer encore. |
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Je ne retournai pas à la villa de Rosemonde, je voulais goûter la forte nourriture que seule sait nous donner la solitude. Ses joies, dans leur brève durée, sont assez intenses pour effacer les longs ennuis inséparables de l’isolement ; elles nous élèvent d’une telle ivresse que les |
Je ne retournai pas à la villa de Rosemonde, je voulais goûter la forte nourriture que seule sait nous donner la solitude. Ses joies, dans leur brève durée, sont assez intenses pour effacer les longs ennuis inséparables de l’isolement ; elles nous élèvent d’une telle ivresse que les |