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Où la vie, heureuse et facile,
Les retenait avec amour.
Mais, quand au devoir on s’élance,
Rien n’arrête de tels élans…
Ils sont soldats, les Anges blancs
De notre Croix-Rouge de France !

Aussi, par la foule innombrable
De ceux que d’un cœur secourable
Vous avez sauvés ici-bas ;
Par le Dieu de bonté, le « nôtre »…
— Non le Dieu farouche d’un autre,
Dieu de la haine et des combats ; —
Par nous tous que votre vaillance,
Sans y songer, rend plus vaillants,
Soyez bénis, doux Anges blancs
De notre Croix-Rouge de France !