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Il est très bien
{{tab}}Il est très bien
J’en suis certain
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Car toi-même, aimable Henriette
Car toi-même, aimable Henriette
Dicta cette chansonnette
Dicta cette chansonnette
A mon cœur.
{{tab}}{{tab}}À mon cœur.
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Peu m’importe d’ailleurs
Peu m’importe d’ailleurs
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Si tes yeux d’un regard prospère
Si tes yeux d’un regard prospère
Voient cet hommage sincère
Voient cet hommage sincère
De mon cœur.
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{{Centré|VERS POUR LE MARIAGE DE M<sup>lle</sup> DEMONCHEAUX<ref>Cette pièce a été publiée par M. Lucien Peise, dans son recueil : ''Quelques vers de Maximilien Robespierre'', p. 23.</ref>
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<poem>C’en est fait, aimable Emilie,
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C’en est fait, aimable Émilie,
Un mot a fixé ton destin :
Un mot a fixé ton destin :
Un mortel trop digne d’envie
Un mortel trop digne d’envie
T’a soumise au joug de l’Hymen.
T’a soumise au joug de l’Hymen.

Mais de ce dieu qu’on calomnie
Mais de ce dieu qu’on calomnie
Ne crains pas l’empire éternel,
Ne crains pas l’empire éternel,
Contre ses loix, quoiqu’on publie.
Contre ses loix, quoiqu’on publie.
L’hymen n’est point un dieu cruel.
L’hymen n’est point un dieu cruel.

L’homme, ce sultan formidable
L’homme, ce sultan formidable
Dont on vante la majesté,
Dont on vante la majesté,
A la voix d’une épouse aimable
A la voix d’une épouse aimable
Dépose toute sa fierté.
Dépose toute sa fierté.
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