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P. 27, l. 21. — ''de l’Architecture''. Blanchemain a cru que cette satire de
P. 27, l. 21. — ''{{ancre|P27_L21|{{lia|Discours de la Vie de P. de Ronsard, par Cl. Binet|P27_L21|de l’Architecture|85}}}}''. Blanchemain a cru que cette satire de
la ''Truelle crossée'' n’est autre que le sonnet ''Penses-tu mon Aubert...'',
la ''Truelle crossée'' n’est autre que le sonnet ''Penses-tu mon Aubert...'',
qu’il a réédité au tome VIII de son édition de Ronsard, p. 139 (cf.
qu’il a réédité au tome VIII de son édition de Ronsard, p. 139 (cf.