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— Sire, dit Porthos… |
— Sire, dit Porthos… |
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— C’est le flatter, dit d’Artagnan, car il possède un royal appétit. |
— C’est le flatter, dit d’Artagnan, car il possède un royal appétit. |
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— Vous m’enchantez, dit Porthos.<section end=s1/> |
— Vous m’enchantez, dit Porthos. |
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— Pour le service ? dit Aramis. |
— Pour le service ? dit Aramis. |
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— Oui, fit d’Artagnan. Et naturellement, nous parlâmes de vous et de nos amis. Je dois dire que Baisemeaux me reçut froidement. Je pris congé. Or, comme je revenais, un soldat m’aborda et me dit (il me reconnaissait sans doute malgré mon habit de ville) : « Capitaine voulez-vous m’obliger en me lisant le nom écrit sur cette enveloppe ? » Et je lus : À M. du Vallon, à Saint-Mandé chez M. Fouquet. « Pardieu ! me dis-je, Porthos n’est pas retourné, comme je le pensais, à Pierrefonds ou à Belle- |
— Oui, fit d’Artagnan. Et naturellement, nous parlâmes de vous et de nos amis. Je dois dire que Baisemeaux me reçut froidement. Je pris congé. Or, comme je revenais, un soldat m’aborda et me dit (il me reconnaissait sans doute malgré mon habit de ville) : « Capitaine voulez-vous m’obliger en me lisant le nom écrit sur cette enveloppe ? » Et je lus : À M. du Vallon, à Saint-Mandé chez M. Fouquet. « Pardieu ! me dis-je, Porthos n’est pas retourné, comme je le pensais, à Pierrefonds ou à Belle-Isle, Porthos est à Saint-Mandé chez M. Fouquet. M. Fouquet n’est pas à Saint-Mandé. Porthos est donc seul, ou avec Aramis, allons voir Porthos. » Et j’allai voir Porthos. |
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— Très bien ! dit Aramis rêveur. |
— Très bien ! dit Aramis rêveur. |
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— Il n’a pas vu, il a dévoré des yeux. |
— Il n’a pas vu, il a dévoré des yeux. |
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Aramis tressaillit et se retourna pour regarder le mousquetaire ; mais celui |
Aramis tressaillit et se retourna pour regarder le mousquetaire ; mais celui-ci était déjà en grande conversation avec de Saint-Aignan. |
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Aramis continua d’interroger Porthos ; puis, quand il eut exprimé tout le jus de ce citron gigantesque, il en jeta l’écorce. |
Aramis continua d’interroger Porthos ; puis, quand il eut exprimé tout le jus de ce citron gigantesque, il en jeta l’écorce. |
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— Cher ami, répliqua d’Artagnan. |
— Cher ami, répliqua d’Artagnan. |
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— Nous ne soupons point avec le roi, nous autres.<section end=s2/> |
— Nous ne soupons point avec le roi, nous autres.<section end="s2"/> |