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Eh bien ! quand sous les coups que votre main lui porte.
Eh bien ! quand sous les coups que votre main lui porte,
Elle sera tombée, et qu’on la croira morte ;
Elle sera tombée, et qu’on la croira morte ;
Que l’Anglais en viendra partager les débris.
Que l’Anglais en viendra partager les débris,
C’est alors que partout vous poursuivront ses cris…
C’est alors que partout vous poursuivront ses cris…
Vous fuirez ; mais dans son agonie, un royaume
Vous fuirez ; mais dans son agonie, un royaume
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Car vous ne saurez plus où poser votre tête !</poem>
Car vous ne saurez plus où poser votre tête !</poem>


{{Personnage|AGNÈS.|c}}
{{Personnage|AGNÈS.|c|uc|sm}}
<poem class="verse">Grâce, grâce !…</poem>
<poem class="verse">Grâce, grâce !…</poem>


{{Personnage|LE COMTE.|c}}
{{Personnage|LE COMTE.|c|uc|sm}}
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{{cach|Grâce, grâce !…}} Nos fils… ce qu’il en restera,
{{cach|Grâce, grâce !…}} Nos fils… ce qu’il en restera,
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Et toutes vous criront : « Malheur à vous ! malheur !…</poem>
Et toutes vous criront : « Malheur à vous ! malheur !…</poem>


{{PersonnageD|AGNÈS.|c|à genoux}}
{{PersonnageD|AGNÈS|c|à genoux|uc|sm}}
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Monseigneur, il n’est rien qu’un repentir n’efface…
Monseigneur, il n’est rien qu’un repentir n’efface…
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Et la main qui blessa peut guérir !</poem>
Et la main qui blessa peut guérir !</poem>


{{Personnage|LE COMTE.|c}}
{{Personnage|LE COMTE.|c|uc|sm}}
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{{cach|t la main qui blessa peut guérir !}} Essayez !</poem>
{{cach|Et la main qui blessa peut guérir !}} Essayez !</poem>


Cela est vraiment fort beau, n’est-ce pas ?
Cela est vraiment fort beau, n’est-ce pas ?