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en remettant les lettres à la jeune fille qui tendit |
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DE M^ECOURT 49 |
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les mains avec empressement. |
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Jeanne occupait dans la gwson.la position d’une personne privilégiée. Femme de.çhmnbredemada.me d’Aulnay avant le mariage, de çelle-ci, ejle l’avait suivie dans sa nouvelle demeure, probablement pçur ne plus jamais s’en séparer elle’ lui était profondément attachée, et .souvent elle lui avait donné des preuves de cet attachement sous, la ..forme .de remontrances et de conseils que la. légère et capriçieuse madame d’Aulnay n’aurait certainement pas soufferts d’aucune autre personne. |
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Jeanne occupait dans la maison la position d’une |
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Antoinette ouvrit précipitamment les missives qui toutes- deux, étaient longues et écrites très serrées. Madame d’Aulnay, jetant un coup d’œil sur ces pages et les voyant si bien remplies, s’écria avec impatience : |
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personne privilégiée. Femme de chambre de madame |
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—Assurément; chère enfant, tu n’as pas l’intention, j’espère, de lire ces folios en entier maintenant Tiens, tiens, mets-les de côté, tu en prendras connaissance à notre retour. |
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d’Aulnay avant le mariage de celle-ci, elle l’avait |
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—Non pas, chère Lucille. Ces lettres sont de papa et de cette pauvre madame Gérard, et ma pensée a tellement négligé depuis quelque temps ces deux personnes si chères à mon cœur que, par manière de pénitence, je dois rester à la maison et lire leurs lettres jusqu’à ce que je les sache.par cœur. |
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suivie dans sa nouvelle demeure, probablement pour |
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ne plus jamais s’en séparer ; elle lui était profondément |
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attachée, et souvent elle lui avait donné des |
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preuves de cet attachement sous la forme de remontrances |
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et de conseils que la légère et capricieuse |
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madame d’Aulnay n’aurait certainement pas soufferts |
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d’aucune autre personne. |
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Antoinette ouvrit précipitamment les missives qui |
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toutes deux, étaient longues et écrites très serrées. |
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Madame d’Aulnay, jetant un coup d’œil sur ces pages |
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et les voyant si bien remplies, s’écria avec impatience : |
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— Assurément, chère enfant, tu n’as pas l’intention, |
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j’espère, de lire ces folios en entier maintenant. Tiens, |
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tiens, mets-les de côté, tu en prendras connaissance à |
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notre retour. |
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— Non pas, chère Lucille. Ces lettres sont de papa |
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et cette pauvre madame Gérard, et ma pensée a |
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tellement négligée depuis quelque temps ces deux |
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personnes si chères à mon cœur que, par manière de |
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pénitence, je dois reste à la maison et lire leurs lettres |
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jusqu’à ce que je les sache par cœur. |
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cette charmante après-dînée et la première journée |