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de 72 et {{unité|50|canons}}, à l’entrée du havre. La garnison parlemente, pour donner le temps aux bateaux d’arriver. Mais d’Iberville ne s’y laisse pas |
de 72 et {{unité|50|canons}}, à l’entrée du havre. La garnison parlemente, pour donner le temps aux bateaux d’arriver. Mais d’Iberville ne s’y laisse pas |
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prendre. Il envoie chercher à ''Bayeboulle'' (Bay-Bull) ses mortiers, ses bombes et sa poudre. En |
prendre. Il envoie chercher à ''Bayeboulle'' ({{lang|en|Bay-Bull}}) ses mortiers, ses bombes et sa poudre. En |
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attendant, pour faciliter le tir, il incendie les maisons environnant le fort. Son ardeur au combat a |
attendant, pour faciliter le tir, il incendie les maisons environnant le fort. Son ardeur au combat a |
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le succès habituel. Terrifié à la vue des Canadiens, dont le seul aspect répand la terreur chez les Anglais, le commandant capitule, ne demandant qu’à passer en Angleterre. Brouillan, toujours aimable, signe seul la capitulation sans la montrer à d’Iberville. {{unité|160|hommes}}, des femmes, |
le succès habituel. Terrifié à la vue des Canadiens, dont le seul aspect répand la terreur chez les Anglais, le commandant capitule, ne demandant qu’à passer en Angleterre. Brouillan, toujours aimable, signe seul la capitulation sans la montrer à d’Iberville. {{unité|160|hommes}}, des femmes, |