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Nous ne ferons aucune réflexion sur des matières qui sont approfondies et longuement traitées dans le livre X. |
Nous ne ferons aucune réflexion sur des matières qui sont approfondies et longuement traitées dans le livre X. |
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''Deuxième observation''. – L’art avec lequel les mouvements des divers corps d’armée ont été dérobés à la connaissance de l’ennemi, au début de la campagne, ne saurait être trop remarqué. Le maréchal Blucher et le duc de Wellington ont été surpris ; ils n’ont rien vu, rien su de tous les mouvements qui s’opéraient près de leurs avant-postes. |
''Deuxième observation''. – « L’art avec lequel les mouvements des divers corps d’armée ont été dérobés à la connaissance de l’ennemi, au début de la campagne, ne saurait être trop remarqué. Le maréchal Blucher et le duc de Wellington ont été surpris ; ils n’ont rien vu, rien su de tous les mouvements qui s’opéraient près de leurs avant-postes. |
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Pour attaquer les deux armées ennemies, les Français pouvaient déborder leur droite, leur gauche, et percer leur centre. Dans le premier cas, ils déboucheraient par Lille, et rencontreraient l’armée anglo-hollandaise ; dans le second, ils déboucheraient par Givet et Charlemont, et rencontreraient l’armée prusso-saxonne. Ces deux armées restaient réunies, puisqu’elles seraient pressées l’une sur l’autre, de la droite sur la gauche et de la gauche sur la droite. L’Empereur adopta |
« Pour attaquer les deux armées ennemies, les Français pouvaient déborder leur droite, leur gauche, et percer leur centre. Dans le premier cas, ils déboucheraient par Lille, et rencontreraient l’armée anglo-hollandaise ; dans le second, ils déboucheraient par Givet et Charlemont, et rencontreraient l’armée prusso-saxonne. Ces deux armées restaient réunies, puisqu’elles seraient pressées l’une sur l’autre, de la droite sur la gauche et de la gauche sur la droite. L’Empereur adopta |