« Page:Revue des Deux Mondes - 1880 - tome 38.djvu/821 » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
m feule |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 15 : | Ligne 15 : | ||
j’en obtins quelque retour, je pensai que rien ne manquoit plus à ma félicité.|90}} |
j’en obtins quelque retour, je pensai que rien ne manquoit plus à ma félicité.|90}} |
||
{{t|’étoit au commencement de mon mariage. J’aimois et j’étois aimée ; |
|||
elle |
elle seule fut la dépositaire de tous les mouvemens de mon cœur. |
||
Je croyois jouir doublement quand elle partageoit mes plaisirs et |
Je croyois jouir doublement quand elle partageoit mes plaisirs et |
||
mes douces peines. Je m’apperceus, dès le commencement de notre |
mes douces peines. Je m’apperceus, dès le commencement de notre |