« Page:Leblanc - La demoiselle aux yeux verts, paru dans Le Journal, du 8 déc 1926 au 18 jan 1927.djvu/86 » : différence entre les versions

Phe-bot (discussion | contributions)
Ernest-Mtl: split
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 3 : Ligne 3 :
Si Raoul parlait ainsi, c’est qu’il savait enfin dans quel sens agir. Les journaux de la région publiaient cette note :
Si Raoul parlait ainsi, c’est qu’il savait enfin dans quel sens agir. Les journaux de la région publiaient cette note :


« Notre hôte distingué, lord Bakefield, après avoir assisté aux obsèques de sa malheureuse fille, est revenu parmi nous et passera cette fin de saison, selon son habitude, au "Bellevue" de Monte-Carlo. »
« Notre hôte distingué, lord Bakefield, après avoir assisté aux obsèques de sa malheureuse fille, est revenu parmi nous et passera cette fin de saison, selon son habitude, au « Bellevue » de Monte-Carlo. »


Ce soir-là, Raoul de Limézy prenait, au « Bellevue », une chambre contiguë aux trois pièces occupées par l’Anglais. Toutes ces pièces, ainsi que les autres chambres du rez-de-chaussée, dominaient un grand jardin, sur lequel chacune avait son perron et sa sortie, et qui s’étendait devant la façade
Ce soir-là, Raoul de Limézy prenait, au « Bellevue », une chambre contiguë aux trois pièces occupées par l’Anglais. Toutes ces pièces, ainsi que les autres chambres du rez-de-chaussée, dominaient un grand jardin, sur lequel chacune avait son perron et sa sortie, et qui s’étendait devant la
Pied de page (noinclude) :Pied de page (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :


<references/></div>
<references/>