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mais qu’elle irait sûrement la rechercher à la fin de l’après-midi. |
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Quand elle prit le chemin conduisant chez {{Mme}} |
Quand elle prit le chemin conduisant chez {{Mme|Balliat}}, elle ne |
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savait plus si elle rêvait ou si elle cheminait dans la réalité. Comment |
savait plus si elle rêvait ou si elle cheminait dans la réalité. Comment |
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allait-elle se présenter à cette malade qu’elle ne connaissait |
allait-elle se présenter à cette malade qu’elle ne connaissait |
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— Que c’est aimable à vous ! Entrez donc… Maman, voici |
— Que c’est aimable à vous ! Entrez donc… Maman, voici |
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{{Mlle}} |
{{Mlle|Marcelle}} Dinare, une amie de {{Mmes|Tiguel}}… Elle a la gentillesse |
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de venir te distraire un peu. |
de venir te distraire un peu. |
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Je vous avoue que j’ai obéi cet après-midi à une impulsion presque |
Je vous avoue que j’ai obéi cet après-midi à une impulsion presque |
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irraisonnée en venant. J’avais devant les yeux {{Mme}} |
irraisonnée en venant. J’avais devant les yeux {{Mme|Balliat}} malade, |
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une journée devant moi, et mon cœur n’a pu résister… mais |
une journée devant moi, et mon cœur n’a pu résister… mais |
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je regrette d’avoir devancé ces dames… |
je regrette d’avoir devancé ces dames… |
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— Ne regrettez rien ! s’écria {{Mme}} |
— Ne regrettez rien ! s’écria {{Mme|Balliat}}, touchée jusqu’au fond |
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de l’âme. |
de l’âme. |
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grand besoin… toute la semaine dans un bureau est cruel… |
grand besoin… toute la semaine dans un bureau est cruel… |
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— Je serais désolée que M. |
— Je serais désolée que {{M.|Balliat}} n’en profite pas tout de suite ! |
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— Merci, Mademoiselle… |
— Merci, Mademoiselle… |
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