« De Paris à Bucharest » : différence entre les versions

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{{t2|[[De Paris à Bucharest/Chapitre 15|{{sc|À Munich.}}]]|XV|fs=130%|lh=1}}
 
{{c|Les villes nécessaires et les villes artificielles. — Munich est né de la querelle d’un duc et d’un évêque. — Le roi Louis. — Un coup de cravache. — Munich à vol d’oiseau. — La vieille ville et la nouvelle ville. — L’architecture : un musée de pastiches pris pour une renaissance. — La Rumeshalle et la Bavaria. — La Siegesthor et ses lions. — L’obélisque de bronze et l’obélisque de pierre.|fs=90%|lh=2}}
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{{t2|[[De Paris à Bucharest/Chapitre 16|{{sc|Suite de Munich.}}]]|XVI|fs=130%|lh=1}}
 
{{c|La sculpture et la peinture ; la Glyptothèque et les marbres d’Égine. — La peinture ; la Pinacothèque ; Albert Durer et Rubens. — Les fresques. — Faut-il des fresques à Munich, et l’architecture est-elle la servante de la peinture ? — Munich une des capitales du nouvel art chrétien. — Origine de cette renaissance catholique.|fs=90%|lh=2}}
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{{t2|[[De Paris à Bucharest/Chapitre 17|{{sc|Suite de Munich.}}]]|XVII|fs=130%|lh=1}}
 
{{c|La colonie allemande à Rome. — Le mysticisme d’Overbeck et les synthèses génésiaques de Cornélius. — La maladie du cosmos et la peinture philosophique. — Infécondité des hybrides.|fs=90%|lh=2}}
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{{t2|[[De Paris à Bucharest/Chapitre 18|{{sc|Suite de Munich.}}]]|XVIII|fs=130%|lh=1}}
 
{{c|La brasserie royale. — Une manière de monter la garde à Munich. — Les balafres des étudiants. — Une cérémonie funèbre. — Les cimetières. — L’''Angelus''. — La retraite. — La procession de la Fête-Dieu. — Le masque olympien de Gœthe.|fs=90%|lh=2}}
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