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— Un type ! quel type ? s’écria la jeune fille en se mettant à rire comme si elle n’en avait pas eu, depuis tout un an, l’occasion. Mais vous êtes très amusant ! Tenez |
— Un type ! quel type ? s’écria la jeune fille en se mettant à rire comme si elle n’en avait pas eu, depuis tout un an, l’occasion. Mais vous êtes très amusant ! Tenez, voici un banc ; asseyons-nous ; personne ne passe, personne ne nous entendra. Commencez votre histoire, car vous me trompiez, vous avez une histoire ! D’abord, qu’est-ce qu’un type ? |
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— Un type, c’est un homme ridicule ! répondis-je en commençant à rire, gagné par son rire d’enfant, c’est un caractère ! c’est un… Mais savez-vous ce que c’est qu’un rêveur ? |
— Un type, c’est un homme ridicule ! répondis-je en commençant à rire, gagné par son rire d’enfant, c’est un caractère ! c’est un… Mais savez-vous ce que c’est qu’un rêveur ? |
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— Un rêveur ! Permettez |
— Un rêveur ! Permettez, je suis moi-même ''un rêveur'' ! Que de choses il me passait par la tête pendant les longues journées près de ma babouschka ! Ils allaient loin, mes rêves ! Une fois j’ai rêvé que j’épousais un prince chinois ! C’est quelquefois bon de rêver. |
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— Magnifique ! Ah ! si vous êtes femme à épouser un prince chinois, vous me comprendrez très bien… Mais permettez, je ne sais pas encore comment vous vous appelez. |
— Magnifique ! Ah ! si vous êtes femme à épouser un prince chinois, vous me comprendrez très bien… Mais permettez, je ne sais pas encore comment vous vous appelez. |
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— C’est tout. N’est-ce pas assez pour vous ? |
— C’est tout. N’est-ce pas assez pour vous ? |
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— Oh ! beaucoup |
— Oh ! beaucoup ! beaucoup ! au contraire, beaucoup ! Nastenka ! |
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— Alors ?… |
— Alors ?… |