« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 7.djvu/207 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Manchette|D}} |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<section begin="901"/>{{nld|1682|border-top:1px solid black;}} |
|||
—201 |
|||
⚫ | Sévigné, qui avoit écrit au bas de cette espèce d’opéra.<ref>18. Nous avons déjà vu un emploi semblable de ce mot dans une lettre de Bussy : voyez tome {{rom-maj|IV|}}, p. 317, et la note 2.</ref> Il manque à la nouvelle qu’elle vient de vous mander du mariage de M.{{lié}}de Marsan, que le Roi lui fit savoir le soir de ses noces |
||
⚫ | |||
⚫ | Sévigné, qui avoit écrit au bas de cette espèce d’opéra.<ref>18. Nous avons déjà vu un emploi semblable de ce mot dans une lettre de Bussy : voyez tome IV, p. 317, et la note 2.</ref> Il manque à la nouvelle qu’elle vient de vous mander du mariage de M. |
||
qu’il avoit destiné l’appartement de Madame sa femme, et sa place de dame du palais à une autre. |
qu’il avoit destiné l’appartement de Madame sa femme, et sa place de dame du palais à une autre. |
||
Si vous |
Si vous revenez bientôt, nous recommencerons nos poursuites, et je serai toujours, moi, mon esprit, mon zèle, ma chicane et ma pratique, à votre service et à celui de {{Mme}} de Coligny, que j’honore parfaitement. |
||
⚫ | |||
⚫ | |||
⚫ | |||
A MADAME DE SÉVIGNÉ. |
|||
⚫ | |||
1682 |
|||
<section end="901"/> |
|||
1683 |
|||
<section begin="902"/>{{brn|2}} |
|||
{{nld|1683|border-top:1px solid black;}} |
|||
⚫ | |||
{{brn|1}} |
|||
⚫ | |||
{{brn|1}} |
|||
⚫ | |||
{{brn|1}} |
|||
{{c|{{sc|'''à madame de sévigné'''.}}}} |
|||
⚫ | {{sc|Je}} vous demande pardon, Madame, de vous avoir accusée injustement : il est vrai que vous n’avez point eu de tort, vous m’avez écrit ; mais je ne l’ai su que parce que vous venez de me le mander<ref>2. Dans le manuscrit de la Bibliothèque impériale, il y a simplement : « mais je ne l’ai point su. » Dans le même manuscrit, à la phrase suivante : « Ma fille de Sainte-Marie me manda… mais elle ne me manda pas, etc ; » trois lignes après : « je vous demande encore pardon une fois.</ref>. Ma fille de Sainte- |
||
⚫ |