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''Je m’étais proposé de rendre compte du second ouvrage de M. Pierre de Coubertin, comme je l’avais fait du premier''<ref>Voir le numéro de novembre 1888 du ''Bulletin de la Faculté des Lettres de Poitiers''.</ref>, ''et d’examiner en même temps le roman de M. Paschal Grousset sur la'' {{t|Vie de collège en Angleterre|120}}, ''avec son récent livre intitulé'' {{t|Renaissance physique|120}}. ''Mais craignant pour les lecteurs l’ennui d’un long article bibliographique, j’ai cru mieux faire d’exposer les idées de ces écrivains sous forme de dialogue. Comme M. Francisque Bouillier a beaucoup écrit sur l’éducation, il m’a semblé qu’il ne serait pas mauvais d’opposer ses vues à celles de MM. Paschal Grousset et Pierre de Coubertin. Afin de rendre fidèlement la pensée de chaque interlocuteur, je lui mets à la bouche, autant que possible, des expressions et des phrases prises dans ses ouvrages mêmes.''
Je m’étais proposé de rendre compte du second ouvrage
de M. Pierre de Coubertin, comme je l’avais fait du premier<ref>Voir le numéro de novembre 1888 du ''Bulletin de la Faculté des Lettres de Poitiers''.</ref>, et d’examiner en même temps le roman de M. Paschal Grousset sur la Vie de collège en Angleterre, avec son récent livre intitulé Renaissance physique. Mais
craignant pour les lecteurs l’ennui d’un long article bibliographique, j’ai cru mieux faire d’exposer les idées de ces écrivains sous forme de dialogue. Comme M. Francisque Bouillier a beaucoup écrit sur l’éducation, il m’a semblé qu’il ne serait pas mauvais d’opposer ses vues à celles de MM. Paschal Grousset et Pierre de Coubertin. Afin de rendre fidèlement la pensée de chaque interlocuteur, je lui mets à la bouche, autant que possible, des expressions et des phrases prises dans ses ouvrages mêmes.