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l’embarras. Je voulais seulement vous prier de me chercher un successeur. Je resterai jusqu’à ce que vous l’ayez trouvé. |
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{{Personnage|Maréchal.|c}} |
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C’est très contrariant ! je m’habituais à vous, moi. Je déteste les nouveaux visages. |
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{{Personnage|Le Marquis.|c}} |
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Quelle lubie vous passe par la tête ? |
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{{Personnage|Maréchal.|c}} |
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Est-ce qu’on vous offre une meilleure place ? |
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{{Personnage|Maximilien.|c}} |
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Non, monsieur ; si je quitte votre service, c’est pour rentrer au mien. Je suis habitué à ne relever que de mon travail, et je me sens incapable d’aucune autre sujétion. |
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{{Personnage|Maréchal.|c}} |
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Votre travail !… sapristi ! vous m’avez avoué qu’avant d’être à moi, vous faisiez des travaux de librairie, à trente francs la feuille, petit texte. |
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{{Personnage|Maximilien.|c}} |
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Petit texte, oui, monsieur. |
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{{Personnage|Maréchal.|c}} |
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Et vous voulez recommencer ce métier de meurt-de-faim ? |
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{{PersonnageD|Fernande|c|à part.}} |
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Je lui ai ôté son pain ! |
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{{Personnage|Maréchal.|c}} |
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Mais c’est absurde ! |