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TRIPTYQUE i De tes deuils si cruels, ô France, de tes ruines, Des dommages subis dans ta prospérité, Des coups que te porta lHmnemi détesté : Tu sortiras, sublime entre les héroïnes. Tes sacrifices, va, porteront de beaux fruits. Avec fierté tu peux, toi qui sauves le monde, Te dresser, les regards sur ton oeuvre féconde, Et dans toute la gloire à ton destin promis. Tu te relèveras, ficr.e, régénérée, ’Consciente de ta valeur et de tes droits, République grefi’ée a la France des rois, Mais demeurant la France où le progrés se crée, La France en qui renaît un généreux passé, Qui court à l’avenir, plus fameuse et plus belle,