Page:Zola - La Débâcle.djvu/567

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Adieu ! adieu !

Cette nuit-là, Henriette, rentrée à Remilly, était de service à l’ambulance. Pendant sa longue veillée, elle fut encore prise d’une affreuse crise de larmes, et elle pleura, elle pleura infiniment, en étouffant sa peine entre ses deux mains jointes.