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sur son visage il y avait bien autre chose que de la joliesse.

Je crois qu’il était la plus splendide des créatures que j’aie jamais vue et rien ne peut surpasser la grâce de ses mouvements, le charme de ses manières. Il séduisait tous ceux qui méritaient qu’on les séduisît et bien des gens qui ne le méritaient pas.

Il était souvent volontaire et impertinent et bien souvent je pensais qu’il manquait épouvantablement de sincérité.

Cela était dû, je crois, surtout à son désir immodéré de plaire. Pauvre Cyril ! je lui dis une fois qu’il se contentait de triompher à bon compte, mais il n’en fit que rire.

Il était horriblement gâté.

Tous les gens charmants, j’imagine, sont horriblement gâtés. C’est le secret de leur attraction.

Pourtant il me faut vous parler du jeu de Cyril.

Vous savez que l’A. D. C. ne fait accueil sur sa scène à aucune actrice, du moins, c’était ainsi de mon temps ; je ne sais com-