plus honorables, telles que la Société du Crédit au Travail et la Caisse d’escompte des Associations populaires.
Ainsi conçues et divisées, mes trois leçons peuvent, ce me semble, aspirer à une durée un peu moins éphémère que celle d’une simple causerie à l’usage des gens du monde. Elles visent à constituer une première tentative, ou, — comme je dirais, si les formules imaginées par la modestie de nos pères étaient moins surannées, — un Essai, un Aperçu ou une Esquisse d’une théorie économique des associations populaires. C’est pourquoi je me décide à les adresser à tous les travailleurs que le succès du mouvement coopératif intéresse directement, et aussi à tous les hommes qui, en raison de leur position ou de leurs fonctions, ou mus par un louable entraînement, seront amenés à s’occuper de ce mouvement qui se produit, à l’heure qu’il est, avec une intensité si marquée et dans des con-