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du Palladium Nouveau et Réformé, ou bien de la Franc-Maçonnerie Universelle ? La réponse est parfaitement claire. Son unique source de renseignements est Adolphe Ricoux ; par un oubli, il n’a même pas eu l’avantage de reprendre les rituels publiés par Léo Taxil. Il peut donc être renvoyé d’emblée. Le satanisme qu’il expose dans la franc-maçonnerie est un satanisme supposé. Quant à un réel culte du diable, il reproduit comme vraie la nouvelle pleine d’esprit Aut Diabolus aut Nihil, parue à l’origine dans Blackwood’s Magazine, et qui a depuis été réimprimée par son auteur, lequel déclare qu’elle est entièrement fictive, ce que la plupart des gens savent déjà.

En quittant l’auteur de La franc-maçonnerie, synagogue de Satan, comme un témoin dont les preuves tombent à l’eau, il faut répéter qu’il a, par sa position éminente, par son élégance dans la méthode, et par l’exhibition de son érudition, été un pilier principal de l’hypothèse satanique.