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UNE CAPITULATION
- C’est toi qui l’a voulu, Bazaine !
- Miriton plon ! ! pion ! À la bataille de Sedan
- Il a été battu, le fougueux Mac-Mahon,
- Le général Troché,
- Troché, Trochu !
- Laladrons, Ledru,
- A enfermé l’armée
- Dans les Forts de Paris.
- Tout cela s’est passé
- En l’année mille huit cent soixante-dix !
- C’est moi le vrai Génie de la France, etc.
Offenbach. — Chassé croissé.
Le Chœur. — Dansons, chantons, etc. (comme précédemment)
Hugo. — Chacun son tour de passer le Rhin
- Miriton ! Miriton ! Tontaine !
- Nous possédons l’Allemagne entière
- À la tête Mahon et Bazaine
- Schnetteretin ! tin ! tin !
- Mayence et Berlin,
- Depuis le Danube jusqu’à la Sprée et le Rhin
- Général Monsieur
- Allez à Willhemshœhe
- Tropfrau Tropmann
- Tratratan ! Tantan !
- Avec trois cent mille hommes.
- En l’année mille huit cent soixante-dix, etc.
Offenbach. — En avant deux !
Le Chœur. — Dansons, chantons, (la suite comme précédemment)
Hugo. — Cependant la France, la généreuse France
- Se plaît à voiler la nudité de ses ennemis.
- Après vous avoir tous vaincus
- Nous allons vous parler sérieusement
- Paris, vous ne l’avez pas eu comme ennemis
- Nous vous l’avons donné comme à des amis.
- Pourquoi frapper à la porte des Forts ?
- Elle se serait bien ouverte sans cela
- La porte de vos désirs :
- Cafés, Restaurants,
- Dîners de gourmands,
- Garde mobile
- Et bal Mabile,
- Mystères de Paris,
- Et poudre de riz.
- Chignons et pommades.