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40.

[Commencement de Juillet 1857]

Je crois que nous avons oublié de vous inviter dans les formes voulues pour dimanche soir ; permettez-moi de réparer la chose par la présente. Vous savez, il s’agit d’une petite fête en l’honneur de Sulzer.[1] Je dois aussi vous informer que l’on prendra le thé à sept heures.

J’espère que nous vous verrons à l’heure ponctuelle avec Monsieur Kutter,[2] que vous voudrez bien inviter de notre part également de la façon la plus pressante.

Pour votre satisfaction personelle je vous avertis que je n’ai pu travailler depuis ce dernier soir ; mais Calderon a cependant été mis à la retraite. Devrient[3] me charge de vous faire ses compliments. Pour le reste, le monde existe toujours, Fafner est en vie, toutes choses telles qu’elles ont été.


41.

[Sept. 1857 ?]

Je ne me sens pas bien et devrai fêter l’anniversaire de ma femme[4] à la maison. Merci cordialement pour votre bonté !

  1. Le Dr. J. Sulzer, secrétaire communal de Zurich.
  2. Collègue d’affaires et ami de Wesendonk (Firme Kutter-Luckemeyer de New-York).
  3. Devrient rendit visite à Wagner au commencement de Juillet 1857 (voir Glasenapp, II, 2, 150 et suiv.).
  4. 5 Septembre.
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