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Je suis Anglais : je dois faire le bien | |||
Dans mon pays ; mais plus encor le mien. » | |||
* Au même temps…(K.) |
Vers 108. — Il y a dans un autre manuscrit :
Le jour, la nuit, montrant sans fin, sans terme, | |||
Signes certains de l’amour le plus ferme. | |||
Même on a cru qu’à ce puissant objet | |||
Notre héroïne enfin s’apprivoisait ; | |||
Qu’elle sentait une subtile flamme | |||
* Qui par les yeux se glissait dans son âme. | |||
Je n’en crois rien : mais notre cordelier, | |||
Hardi gaillard, étant de plus sorcier, | |||
Alla trouver ce rival si terrible ; | |||
* Puis il lui tint ce discours si plausible…(K.) |
Vers 120 : | |||
« Je sais combien Jeannette vous est chère ; | |||
Je l’aime aussi d’une amour non légère. | |||
* Elle a mon cœur, comme elle a tous vos vœux. | |||
* Rivaux ardents, nous nous craignons tous deux ; | |||
En bons amis accordons-nous pour elle ; | |||
Amis unis et rivaux sans querelle, | |||
* Tâtons tous deux… | |||
Vers 131 : | |||
Incontinent le mage en capuchon. | |||
Vers 156 : | |||
Ont de Jeannette ôté la couverture. | |||
Vers 162 : | |||
Embrasse Jeanne… Ô soudaine merveille ! | |||
Vers 189 : | |||
* « Suis-moi ; renonce à tes humbles travaux. | |||
Charle est un Jean, et Jeanne est un héros. » | |||
* À ce discours terrible et pathétique, | |||
Et qui n’est point en style académique, | |||
* Jeanne étonnée, ouvrant un large bec, | |||
* Crut quelque temps que l’on lui parlait grec. | |||
Dans ce moment un rayon de la grâce | |||
* Dans son esprit…(K.) | |||
Vers 191 : | |||
À ce discours consolant et terrible, | |||
Pris mot à mot des cahiers de la Bible…(K.) | |||
Vers 206 : | |||
* Et les petits l’appellent monseigneur. |
J’ai reporté dans le texte onze vers qui viennent après celui-ci, et que les éditeurs de Kehl et leurs successeurs avaient placés parmi les variantes. (R.)