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Vers 1 2:j : Vers 1o8 :

��VARIANTES DU CFIANT XI. 187

Qui parle bas quand il no peut se taire, Baisse les yeux cl marche de côté. Il favorise ( et certes c'est dommage) Force fripons; mais il conduit le sage. Il est au l)al, ;\ réglise, h la cour; Au temps jadis il a guidé l'amour. (II.)

��Qui polluaient ces vénérables dames.

��■ Le fier Warton dont la lubrique rage Avait en bref consommé son ouvrage, Le fier Warton fut le seul ccuyer Qui do sa nonne...

��Vers 179. — Édition do l'oG :

��Prit cette armure et s'en couvrit le dos ; l'-t Dieu permit qu'en ce jour la Pucollc Contre Warton combattit pour icello.

  • Le fier Anglais, de fer enbarnacbé,

Eut à son tour l'âme bien stupéfaite Quand il se vit si vivement chargé Par une jeune... (K.)

��Un manuscrit porte

��Vers 1 98 :

��N'ers '199

��Vers 253

��' Prit cette armure et s'en couvrit le dos ; Et Dieu permit qu'en ce jour la Pucelle Contre Warton combattît pour icelle. Le bras tendu, le corps en son profil, La tête haute, et le fer de droit fil ', Jeanne d'abord combat avec mesure ; Car son épée était sa seule armure. L'Anglais recule, et la belle en courroux Du for tranchant lui porte de grands coups. 'Au mont Etna... (R.)

��La voyant nue, il eut de grands remords Do ferrailler contre ce gontil corj)s.

' Sa main tremblait de blesser ce beau corps. Et de sa belle admirant les trésors, Saisi d'amour, de crainte, et de colère, Il recula quatre pas en arrière. Bref, il croit voir un ange de lumière.

��Lui répondit d'un ton tendre et piteux.

��1. Ce vers et le précédent appartiennent au chant VIII (309-310), et se retrouvcnl encore dans l'épisode de Covisandre (18.J-186). (R.)

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