Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome7.djvu/62

Cette page n’a pas encore été corrigée

SOl'HOMSUH.

Que ses ordres |)our moi seront toujours sacrés; Mais ([ue, dans les moments où le combat s'eni^age, M"éloigner du danger c'est trop me faire outrage. Dieux ! par quel sort cruel ai-je à craindre en un jour Massinisse et Syphax, les Romains et l'amour? Ils m'ont tous entraînée au fond de cet abîme; Ils ont tous lait ma perte, et frappé leur victime.

��FIN DU PREMIER ACTE.

�� �