VARIANTES DE TANCRÈDE. 567
Page 528, vers 6. — Voltaire avait d’abord écrit :
Le rival do Tancrède.
Voyez la lettre à d’Argental, du 4 octobre 17 GO. (B.)
Page 529, vers 22 :
Elle serait fidèle, après mon trépas même ! Oui, j’ose m’en flatter ; oui, c’est ainsi qu’elle aime, C’est ainsi que j’adore un cœur tel que le sien ; Il est inébranlable, il est digne du mien : Incapable d’effroi, de crainte, et d’inconstance.
Page 331, vers 11. — C’est sans doute à la place de ce vers et du suivant qu’étaient les deux malheureux vers que Voltaire rapporte dans sa lettre à d’Argental, du 24 septembre 1760 :
Car tu m’as déjà dit que cet audacieux
A sur Amenaide osé lever les yeux, etc. (B.)
Page 532, avant-dernier vers. — L’édition de Prault est la seule dans laquelle on lise :
Éloigne-toi. (B.)
Page 534, vers 13 :
Celle qui fut ma fille à mes j’eux va mourir.
Page 537, vers 6. — Feu Decroix propose :
Vous tous qui prenez part.
Mais je ne trouve ce texte dans aucune édition. (B.)
l*âge 544, vers 17. — Dans les éditions de Prault et de Duchesneon lit :
Puissiez-vous, reconnu, chéri dans Syracuse, Régner dans nos États… (B.)
Page 546, vers 6 :
Vivez heureuse… Amis, je vais chercher la mort.
Ihid., vers 13. — L’édition de Prault, 1761, porte : Craint-il de s’expliquer ? Vous a-t-il soupçonnée ?
Page 547, premier veis. — Dans l’édition de Prault, il y a :
Eh ! peut-il le savoir ?