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M8
ORESTE.
C’est un asile sûr ; et ce ciel que j’implore, Ce ciel, dont votre audace accuse les rigueurs, Pourra le rendre encore à vos cris, à mes pleurs. Venez.
ELECTRE.
De quel espoir ma douleur est suivie ! Ali ! si vous me trompez, vous m’arrachez la vie.
FIN DU DEUXIÈME ACTE.