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473. Thieriot. — « Je vous prie, mon cher Thieriot. » 
 B. et F.
474. Cideville. 16 avril. — « Vraiment, mon cher ami, je ne vous ai pas. » 
 B.
475. Formont. 17 avril. — « Vous me pardonnerez si vous voulez. » 
 B.
476. Marquis de Caumont. 19 avril. — « Il y a peu de choses, monsieur. » 
 B.
477. M. Desforges-Maillard. — « Les fréquentes maladies. » 
 B.
478. Cideville. 29 avril. — « Linant n’a encore que la parole. » 
 B.
479. Cideville. 6 mai. — « Non, mon cher ami, je n’ai jamais. » 
 B.
480. Formont. 6 mai. — « Je pars, mon cher ami. » 
 B.
481. L’abbé Asselin, proviseur du collège d’Harcourt. — « En me parlant de tragédie. » 
 B.
482. Thieriot. Lunéville, 15 mai. — « Mon cher correspondant, me voici dans une cour. » 
 B.
483. L’abbé Asselin. 24 mai. — « Que devient Jules César. » 
 C. et F.(suppl.)
484. Desforges-Maillard. Juin. — « De longues et cruelles maladies. » 
 B.
485. Thieriot. Lunéville, 12 juin. — « Oui, je vous injurierai. » 
 B.
486. Formont. 25 juin 1735. — « Eh bien, mon cher philosophe. » 
 B.
487. Cideville. Vassy en Champagne, 26 juin. — « En voici bien d’une autre ! » 
 B.
488. L’abbé d’Olivet. — « Mon ancien maître, qui l′êtes. » 
 B.
489. Thieriot. Cirey, juin. — « Je suis revenu à Cirey. » 
 B.
490. Thieriot. 15 juillet. — « Je n’ai point été intempérant. » 
 B.
491. La comtesse de La Neuville. — « Une santé à laquelle vous daignez. » 
 B.
492. M. le cardinal Albéroni. — « Monseigneur, la lettre dont Votre Éminence  » 
 B.
493. Cideville. Cirey par Vassy, 3 août. — « Lorsque la divine Émilie. » 
 B.
494. M. Berger. 4 août. — « Vous me mandez, monsieur. » 
 B.
495. M. de Roncières. 4 août. — « J’apprends une nouvelle charmante. » 
 C. et F.
496. Thieriot. — « Je vous envoie, mon cher ami, ma réponse. » 
 B.
497. L’abbé d’Olivet. Cirey, 24 août. — « Mon cher abbé, savez-vous. » 
 B.
498. M. Berger. Cirey, 24 août. — « Vos lettres ajoutent un nouveau charme. » 
 B.
499. M. de Caumont. Vassy en Champagne, 24 août. — « Eh bien ! monsieur, avez-vous trouvé. » 
 B.
500. M. l’abbé Asselin. 24 août 1735. — « Je voudrais bien, monsieur. » 
 B.
501. M. M***, médecin. 27 août. — « Je vous suis très-obligé. » 
 B.
502. Au P. Tournemine, jésuite, 1735. — « J’ai toujours aimé la vérité. » 
 B.
503. Au P. Tournemine. — « L’inaltérable amitié dont vous m’honorez. » 
 B.
504. Thieriot. Cirey, 1er septembre. — « Il faut toujours que de près ou de loin. » 
 B.
505. À M. X***. — « Vous savez, monsieur, quel bruit. » 
 C. et F.
506. À l’abbé Desfontaines. Cirey, 7 septembre. — « Je m’amusai, il y a quelques années. » 
 B.
507. Thieriot. Cirey, 11 septembre. — « Vos lettres me font un plaisir extrême. » 
 B.
508. Falkener. 18 septembre. — « My dear frieiid, your new title. » 
 C. et F.
509. Cideville. 20 septembre. — « Que devient mon cher Cideville. » 
 B.
510. Formont. Cirey, par Vassy, 22 septembre 1735. — « Martin Lefranc, qui barbouilla Didon. » 
 C. et F.
511. Thieriot. Cirey, 24 septembre. — « Depuis que je vous ai écrit. » 
 B.
512. Le duc de Richelieu. Cirey, 30 septembre. — « Vous attendez apparemment » 
 B.
513. M. Berger. — « Vous savez le plaisir. » 
 B.
514. Thieriot. Cirey, 4 octobre. — « Je vous avoue, mon cher ami. » 
 B.
515. L’abbé d’Olivet. Cirey, par Vassy. — « Quel procédé est-ce là. » 
 B.