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388 APPENDICE.

Ne craignez point de Macao ; Vous devez aimer sa morsure. Envoyez votre ami Broglio : Jl sait tant la sainte Écriture ! Et Je philosophe Noce A vous critiquer empresse. Et tous les savants d'Epicure. Enfin venez en liberté Dans le séjour de l'abondance. Revoir le tuteur delà France Et le vôtre, sans vanité; Surtout soyez en assurance Sur le chevalier de Grancé.

��Voltaire, et qui le menaçait d'un libelle s'il n'en obtenait point de secours. Il eut plus d'un imitateur, tels que Guyot-Merville, Nonotte. et son libraire Fez. etc. Voltaire répondait à tous de la même sorte, c'est-à-dire en se moquant d'eux.

Voyez dans la Correspondance générale la lettre à Fez, du 17 mai 1762 ; et pour La Joncbère, les Honnêtetés littéraires, le Mémoire sur la Satire, et la lettre à M me Denis, du 20 décembre 1753. (Xote du premier éditeur.)

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