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520 VARIANTES DE L’ENFANT PRODIGUE.

LISE.

Ah, mallicurcu\ ! arrôtoz.

MA nTHK.

(iomment faire ?

E U P H É MON FIL S.

Lâches, fuyez… où suis-jc ? c’est, mon piTo ! (U jotto son épéc.)

ErPIIKMON PÈnE.

Que vois-je, hélas !

EU PUÉ M ON FILS, aus piccls do son pùrc. Un trop malheureux fils, Qu’on poursuivait, et qui vous est soumis.

LISE.

Oui, le voilà cet inconnu que j’aime.

nONDON.

Ma foi, c’est lui.

FIERENFAT.

Mon frère ?

MADAME CROUPILLAC.

O ciel :

MARTHE.

Lui-mûmc.

EUPHÉMON FILS.

Connaissez-moi, décidez do mon sort, etc.

Page 518, vers 13. — C’est ici que devaient venir les quatre vers qu’on lit dans une lettre à M"’= Quinault.

MADAME CROUPILLAC, cà Fiercnfat. C’est fort bien dit ; à la fin je raurai Mon président : je vous le rangerai ; Je vous… Allons, qu’on nous conjoigne ensemble ; Viens çà, pédant, qu’on m’épouse et qu’on tremble. (B.)

Ibid.^ vers 22. — L’édition de 1773 est la seule qui porte nous : dans toutes les autres, soit antérieures, soit postérieures, on lisait vous. (B.)

FIN DES VARIAMES DE L ENFANT PRODIGUE.