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Je n’ai donc donné ici qu’une très-légère idée de la hardiesse anglaise ; et cette imitation, quoique partout voilée de gaze, est encore si forte qu’on n’oserait pas la représenter sur la scène de Paris.

Nous sommes entre deux théâtres bien différents l’un de l’autre : l’espagnol et l’anglais. Dans le premier on représente Jésus-Christ, des possédés et des diables ; dans le second, des cabarets, et quelque chose de pis.