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entrait : c’était de la paix. Son reste de corps défaillait doucement dans le fluide qui l’envahissait, dépassant ses lèvres. Il se sentait devenir subtil, transformé et vide comme eux ; vide enfin de toute souffrance, tandis qu’entrait encore de la paix, toujours de la paix…

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Des liens mystérieux rattachent ensemble tous les phénomènes qui se produisent dans le monde au même moment. Quand on est persuadé de cette vérité, on peut trouver beaucoup de sens dans le pêle-mêle du journal, ce miroir qui reflète confusément tous les faits de la vie contemporaine. En feuilletant les journaux de l’époque, nous avons recueilli dans le même numéro, sous la date du dernier jour de décembre, ces informations perdues dans le flot des nouvelles quotidiennes. D’abord un fait divers :