Page:Vogüé - Le Portrait du Louvre, paru dans le Journal des débats, 25 décembre 1886.djvu/22

Cette page a été validée par deux contributeurs.

vivre dans la paix, dans l’oubli du mal et du souci. Il les enviait mais sans amertume ; il se sentait très près d’eux, gagné par leur tranquillité ; seulement, il eût voulu communiquer davantage, et que cela ne finît jamais.

Pendant les nuits qui suivirent, la fête se renouvela. Chaque fois, les créatures fraternelles se rapprochaient un peu plus et