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QUELQUES SONNETS


Pour moi je ne connais ni leurs noms ni leurs faces,
Mais je les sais petits et trompeurs et voraces
Et n’ayant que l’amour des gloires et du bien.

Moi qui vis au milieu des hommes et des femmes
Pourtant, et ne devrais plus m’ébahir de rien,
Je demeure étonné devant ces pauvres âmes.