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n’ajoutaient pas à la force défensive de l’armure de mailles, mais elles empêchaient le soleil d’échauffer ce tissu de fer, ou la pluie de le pénétrer trop facilement. Elles pouvaient, jusqu’à un certain point, présenter un obstacle flottant aux flèches ou carreaux.
Ces cottes des xiie et xiiie siècles sont faites habituellement d’une étoffe de soie assez forte (cendal) :
« Cuirie ot bonne, ferrée largement, |
« Cote ot moult bonne, plus bêle ne verrez, |
A dater de la fin du xiiie siècle, on voit parfois ces cottes armoyées,