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d’amante n’était que dans son imagination et dans sa bouche[1].

  1. Beurdeley, contrairement à l’avis de M. Rocheblave, estimait que dans les lettres de G. Sand à Alfred de Musset, « on retrouve, avec la beauté et l’abondance du style cette affectation de protection et d’amour maternel qui s’allie si mal avec l’expression d’un amour de nature toute différente ». (Revue des grands procès contemporains, 1897, 207. Au sujet du livre de Mariéton, Une Histoire d’amour.)