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Sylvie de Moliere

Sylvie de Moliere. 7 té Marquife à quion avoit pû pars ler den naiflance en ’ & quien ayanteu pitié, avoit fans : douteengagé ce charitable Sei- gneur à mc faire du bien. Mais : @eft trop m’arrefter dans cette diéreihon, il faut revenir à mon

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"Le Marquis de Saint Eftienne regala donc cette Dame du recit : de mesaventures, & comme elle : avoit un cœur fenfible aux-belles’ infortunes, elle : conceut auf toft un jus deffein de me’ venir foulager ; foit que ce fût : une fuite de cette compañion qu’on l’accufe ’d’avoir : euë pour : moy en mil fix cens cinquante- deux, ou leffet d’une pitié pu- tement fortuite que luy donna le fort d’une celebre inconnuë, je : deûs tdusjours luy en etre obli- : gée. Pour cét effet elle fe fitune curiofité : qu’elle” n’äüroit ’point eué, qui eftoit— celle ’d’aflifter à :

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