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Sylvie de Moliere

Sylvie de Moliere” 3 tir du Languedoc le plûtoft que je pourrois, fous une belle apparèn- ce de ne regarder en celà qu’à mon feul interet. fentendis ce qu’el= le vouloitdire ;.je meletins pour commandé ; je me vis reduite en unc étrange perplexite d’efprit, ne fçachant plus où donner de la tefte, à moins que de me mettre À le difcretion de Birague : Il s’offioit yeritablement de me conduire à Paris, & de ne me jamais abandon< ner ; mais la pédion en eftoit à craindre, & la compagnie foup-

neuf : Que faire ? ma bome ortune ordinaire y pourvût.

Lors que la Dame de Moliere avoit éclaté contre moy pour van= ger fon mary ; lanouvelle en avoit couru le monde, il s’eftoit fait un : article curieux dans les Gazettes : de l’hiftoire de ma naiffance. Un Duc de Candalle intrigué en tout celà, relevoit encore la chofe ; le bruit ’en avoit. paflé les. Frontie..

L. Partie, D res