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cordes vibraient dans la lie, se mit à chanter, dans le plus pur argot du bon temps, une de ces ballades à reprises qui sont aussi longues qu’un faubourg
En roulant de vergne en vergne[1]
Pour apprendre à goupiner,[2]
J’ai rencontré la mercandière,[3]
Lonfa malura dondaine,
Qui du pivois solisait,[4]
Lonfa malura dondé.
J’ai rencontré la mercandière,
Qui du pivois solisait.
Je lui jaspine en bigorne,[5]
Lonfa malura dondaine,
Qu’as-tu donc à morfiller ?[6]
Lonfa malura dondé.
Je lui jaspine en bigorne,
Qu’as-tu donc à morfiller ?
J’ai du chenu pivois sans lance,[7]
Lonfa malura dondaine,