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un Iûiiloiànse

mots en particulier ; c’était pour que je tc »~· prévienne d’être sur tes gardes, parce qu’on lui avait parlé de toi : e ne t’en dirai pas dan vantage. ’p

— » Qui donc vous a arrêtés, me demanda Pons, qui paraissait consterné de l’événement ? — » Ciest vidooq. ’ ’

’ ’— » Oh ! le gredinl mais qu’est-··ce que c’est donc que ce Vidocq, qui fait tant parler de lui ? Je n’ai jamais pu le voir en face ; une fois seu= lement ; j’ai aperçu par derrière un particulier ’ » quii entrait chez Causette, on m’a dit que’c’é·= - » tait lui, mais je n’en sais rien, et je paierais volontiers quelques bouteilles de bon vin à celui qui me le montrerait. n

— » Il n’est pas si difficile de le rencontrer, A » puisqu’il est toujours par voies et par chesax mihs., -

- » Qu’il ne tombe pas sous ma coupe ; s’il n était ici, je lui ferais passer un mauvais quart ’— » d’heure.

- ’ » Eh ·l tu es îcomme les autres, s’il•étaît là, tu te tiendrais coi, et tu serais encore le pre= s · » mier à lui offrir un coup à boire. En disant ces mots, je tendais mon verre, et il versait.) — » Moi ! je lui olifrirais de la plutôt.