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LAM Owmson. » Et à vous, · général. Mais à propos, que ne vous adressez-vous à Vidocq pour retrouver votre tabatière LE GÉNÉRAL. » A Vidocq ! un voleur, uzichauffeur, un gredin ! si je savais respirer le, même air que lui, je me péndrais tout de ’ » suite. Que je m’ad1·esse àvidocq ! L ’ LE CAPITAINE Pmaiw. w Et pourquoi pas ? s’il n peut vous faire rendre l’objet. ’ Le GÉNÉRAL. » Ah l voilà· comme vous êtes, vous (avec un ton da supériorité Mon ami Picard, on s’aperçoit que vous êtes un enfant un de la balle. ’ Le ca1Ã1·1·1m-u ;. » Merci, général. LE GÉNÉRAL. >• N’êtes-vous pas lefils d’un ca »» pitiaine de maréchausséeP Ne m’avez - vous pas dit cent fois que votre père avait arrêté le fameux’Poulài1ler ?, . U Lan ! Owmsou. » Le fameuxi Poulail.le1·P Ah ! Picard, contez-·nous donc ça, le fameux Poulailler. ’ · M. Picann. »— Puisque vous le commandez, madame ; cependant, c’est bien long, et puis, - » c’est une histoire que tout le monde connaît. LADY Owxnrson. », Je vous en prie, M. Picard. M. PICARD. » (Yétait un bien adroit voleur