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’un vxnocç, . 327 d’abord·’à-qui j’avais alifaire, maintenant je ix sais à quoi m’en tenir. Vous déplorez donc bien la perte de Garçon ? ’ · r — » Ah ! monsieur, je n’y survivrai pas. ’ — » Vous n’avez donc jamais éprouvé de perte à laquelle jvous ayez été plus sensible ?

e- » Non, monsieur.—~

» Cependant, .vous eûtes un mari en ce monde ; vous eûtès un fils ; vous avez eu des ». amants...., I — >x Moi, monsieur- ? je vous trouve bien · rv osé...., . ’ · — » Oui, madame Duflos, vous avez eu des amants ; vous en ·avez eu. Rappelez-vous une certaine nuit de Versailles.... » A ces mots, elle me considère plus attentivement ; le ’ rouge lui monte au visage : « Eugène, ., s’écrie-telle ! » et elle Sienfuit. Madame Duflos était cette marchande de nouveautés, .dont j’avais été quelque temps le commis, lorsque, pour me dérober aux recher= ’ ches de la police d’Arras, j’étais venu me cacher dans Paris. C’était une drôle de femme que madame Duüos ; elle avait une tête superbe, l’œil hautain, le sourcil ; en relief, le front majestueux ; sa bouche, relevée par les coins, était.