Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/330

Cette page n’a pas encore été corrigée

au - ndnonu cherche. J e paierai tout ce qu’il faudra ; mais, surtout, qu’on ne le brutalise pas, car je ré’ » pondrais qu’il n’y a pas de sa faute. —·’ » Ma foi, madame, qu’il y ait de sa faute pu non, cela ne me regarde pas ; votre réclamation’n’est pas se la nature de celles qu’il m’est permis d’écouter : s’il fallait ici nous occuper de’chieus, de chats, d’oiseaux 2 nous n’en finitions pas. · — -· » C’est bien, monsieur ; puisque vous le ’n prenez sur ce ton, je m’adresserai à son Excel- n lence... Si Yon n’a pas de la complaisance n pour les personnes qui pensent bien... Savezvous que fnppartiens à la Congrégation, et-que.... ’ U — n Que vous apparteniez au diable, si vous voulez.... n Je ne puis pas achever ; une difformité que je remarque tout à coup dans la dévote maîtresse de Garçon, provoque de ma part un éclat de rire tel, qu’elle en est tout-à-fait déconcertée. ’ N’est-ce pas que je suis bien risible ? ditelle ; ’riez, monsieur, riez. » Au moment où ma subite gaîté s’apaise un peu. « Pardonnez, madame, ,à ce mouvement dont je n’ai pas été le maître ; j’ignorais