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’un vxnqcç. un plaignait fût simulé., cependant ce vol était de telle nature, que pour le commettre, il avait fallu connaître parfaitement les êtres de ’ la maison ; Je demandai à M. Sebillotte quîelles personnes fréquentaient le plus habituellement son cabaret ; et quand il 111’en eût désigné. quelques ; -unes, il me dit 2- « C’est à peu près tout, sauf les passants, et puis ces étrangers qui ont guéri ma femme ;’ma foi, nous avons été bien heureux de les rencontrera la pauvre diablesse était souffrante depuis trois ans, ils lui ont donné un remède qui lui a fait bien du bien. · ’ - sx Les voyez-vous souvent ces étrangers ? · ’ — » Ils venaient ici prendre leurs repas,

2 mais depuis que ma femme va mieux, on ne

les voit que de loin en loin. — » Savez-vous quels sont ces gens ? Peutêtre auront-ils remarqué ?.... ’. — » Ah, monsieur, · s’écria madame Sebillotte, qui prenait part à la conversation, n’allez pas les soupçonner, ils sont honnêtes, j’en ai la preuve. — » Oh oui ! reprit le mari, elle en à la I preuve ; qu’elle vous conte ça : vdus verrez, . Raconte donc à monsieur", .-