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ni : VIIQQUQ. 219 jeune homme, en me présentant un petit ’ » verre, c’est de l’eau-de-vie, cela vous fera du bien ; vous ne sauriez croire combien vous m’intéressez, je veux vous donner de l’ouvrage pour quelques- jours. — » Ah ! monsieur, vous êtes trop bon, vous me rachetez la vie ; dans quel genre, s’il vous plaît, vous conviendrait-il de m’occu per P - » Dans l’état de miroitier. Si vous avez des glaces à arranger, tru·. meau, Psyché, bonheur du jour, joie de Narcisse, n’importe, vous n’avez qu’à me les confier, je vous ferai, comme on dit, voir un plat de mon métier. -·· » Tai des glaces de toute beauté ; elles · étaient à ma campagne, d’où je les ai fait revenir, de peur qu’il ne prît à messieurs les Cosaques la fantaisie de les briser. — »· Vous avez très bien fait ; mais pour- [ rait-on les voir P -· » Oui, mon ami. » ’ Il me fait passer dans un cabinet, et à la pre ? ’ mière vue, je reconnais les glaces du palais Bourbon.~Je m’extasie sur leur beauté, sur leur dimension, et après les avoir examinées avec la minutieuse attention d’un’hommequi s’y enteu d, .